DE 1934 À AUJOURD'HUI...
C’est en Septembre 1934 que Claudius Roux acquiert la blanchisserie (Celle-ci a été fondée un an auparavant par la blanchisserie Rossigneux de Dijon, qui Souhaitait établir une succursale à Dole) le nom commercial, est alors « Blanchisserie modèle C.ROUX ».
Le matériel est alors très sommaire, une chaudière au charbon chargement et surveillance entièrement manuel, deux barbotes de 60 kg, deux essoreuses, une calandre de largeur 4 m et de diamètre 0.8. Tout est entièrement manuel. Pour la finition, il y a un fourneau permettant le chauffage d’une dizaine de fer à repasser, 2 boules à chauffage vapeur permettant le glaçage des faux cols et une camionnette de marque Citroën pour les livraisons.
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Atelier (pliage) - Ajourd'hui
Atelier (Séchage) - Aujourd'hui
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C’est en Septembre 1934 que Claudius Roux acquiert la blanchisserie (Celle-ci a été fondée un an auparavant par la blanchisserie Rossigneux de Dijon, qui Souhaitait établir une succursale à Dole) le nom commercial, est alors « Blanchisserie modèle C.ROUX ».
En 1936 la blanchisserie se modernise en achetant deux presse à repasser à fonctionnement manuel.
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En 1940, la France vie sous l’occupation, le charbon et les lessives sont rares et surtout il n’y a pas de carburant. Les livraisons se font alors à l’aide de charrette à bras. Après la guerre, la prospérité revient, et la blanchisserie s’agrandit, la partie lavage s’enrichit d’une machine à laver de 60 kg et d’une essoreuse.
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En 1953, une machine à laver de 120 kg et une de 30 kg viennent augmenter la capacité. Depuis la fondation de la blanchisserie, la clientèle est essentiellement composée de particulier, quelques hôtels et internat de lycée.
En 1957, pour faire face en volume croissant de chemises, la blanchisserie s’enrichit d’un groupe de presse à fonctionnement pneumatique permettant le repassage de celles-ci.
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En 1966, le charbon est abandonné au profit du fioul, la chaudière est alors entièrement automatique.
En 1967,1 adoucisseur d’eau est installé, cette année marque aussi l’arrivée de l’emballage sous film polyéthylène, auparavant, l’emballage était réalisé avec du papier kraft scellé à la ficelle.
En 1969, la première laveuse-essoreuse d’une capacité de 180 Kg entièrement automatique est installée, ainsi qu’un séchoir rotatif de 25 kg, permettant de sécher tout type de linge, l’étendage sur fil est alors abandonné. C’est le départ d’une nouvelle ère, ou la blanchisserie ne cessera de s’agrandir.
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En 1971, la blanchisserie Modèle C.Roux change de forme juridique et par la même occasion, change de nom est devient la Blanchisserie Roux.
En 1976, le fioul est abandonné au profit du gaz.
En 1978, Claudius Roux âgé de 80 ans, transmets l’entreprise à sa femme Madelaine et à son fils Philippe.
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En 1985, le tonnage ne se cessant d’augmenter, les anciens locaux sont abandonnés au profit d’une usine de 1100 m² entièrement neuve.
En 1988, la blanchisserie s’équipe d’un tunnel de lavage, entièrement informatisé, préfigurant de l’air de modernité qui va suivre.
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En 1991, Madelaine âgée de 67 ans, prend sa retraite et sa fille Marie devient co-gérante de la société au près de son frère Philippe.
1997, verra à l’arrivée de l’informatique, et avec elle l’identification des vêtements à l’aide de codes-barres, permettant le suivi et la traçabilité.
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En 2010, remplacement du système d’essorage du tunnel de lavage, permettant ainsi, la récupération de l’eau dans la presse et plus de souplesse pour le lavage des articles délicats. Cette année marquera aussi le départ en retraite de Marie Roux.
En 2012, les premières machines à chauffage direct au gaz apparaissent, en trois ans le chauffage vapeur des machines de finition sera abandonné définitivement. L’informatisation des procces de lavage basse température et l’acquisition d’échangeurs, permettra de passer de 2,6 kw a 0,9 kw la consommation d’énergie aux kg de linge traité, de diminuer la consommation d’eau de 24 à 6 L/kg et de baisser la consommation de produits lessiviels de 50 %, réduisant ainsi considérablement l’impact environnemental.
En 2013, l’acquisition d’une emballeuse automatique permet l’utilisation d’un film Polyolefine d’une épaisseur de 13.5 microns, soit 2.22 fois plus fin que le film Polyéthylène, réduisant donc les déchets plastique dans les mêmes proportions.
En 2014, La logistique est entièrement repensée, avec l’achat et la géolocalisation de véhicules aux dernières normes euro 6, permettant ainsi d’optimiser les parcours et de limiter l’impact Carbonne.
En 2016, Philippe Roux prend sa retraite, son fils Sebastien Roux devient gérant, nous sommes donc à la troisième génération de blanchisseur !
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Début 2020 en incendie rendra inutilisable l’outil de production, après 5 mois de rénovation, l’usine fait peau neuve, prête à prendre en charge le linge de ses clients, mais le volume de travail a chuté en raison d’un évènement unique lié à la pandémie Covid 19.
En 2021, nous retrouvons un rythme de travail normal et nous décidons de modifier une partie de notre communication. Nous faisons refondre notre site internet.
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